Je suis collectionneur

Mondfänger 1, huile sur toile, 200x150 cm, 2016 ©Maël Nozahic Plongée dans l’univers des archétypes de Carl Gustav Jung, Maël Nozahic explore le dialogue intérieur entre l’Anima et l’Animus, les principes féminin et masculin qui cohabitent et s’affrontent en chacun de nous. À travers des personnages ornés de crânes et de peaux de bêtes, témoins d’une masculinité brute, et des figures féminines nues ou masquées, l’artiste déploie une réflexion sur la dualité et la complémentarité des forces psychiques. Le parcours pictural invite le regardeur à questionner sa propre part d’ombre, cette face cachée de l’âme qui exige d’être rencontrée pour accéder à la complétude. Les masques, à la fois révélateurs et protecteurs, incarnent ce moment d’hésitation entre révélation et dissimulation, entre authenticité et métamorphose. Mais au-delà de l’introspection, cette quête personnelle se mêle à une autre urgence : celle de l’environnement. Comme un déluge qui emporte et recrée, le rapport entre l’humain et la nature résonne ici avec la psychologie. La destruction et la renaissance ne sont pas seulement des phénomènes naturels, mais aussi des métaphores pour le voyage intérieur. Chaque tableau devient alors un miroir où s’entrelacent fragilité humaine et puissance des éléments.

Martin Reyna est un artiste argentin vivant entre Paris et Buenos Aires, il travaille dans différents lieux où ses registres visuels sont poussés à devenir peinture et dessin. Les conditions atmosphériques et visuelles, souvent une lumière de grande intensité, les accidents ou irrégularités du terrain, la végétation, et l'action du vent, interviennent sur ces peintures. Cependant, si une partie du travail de Martin Reyna se réalise en plein air, il ne cherche pas à reproduire les lieux choisis. Les supports papier et l'utilisation des aquarelles, encres ou peintures à l'eau sont une manière de prolonger l'utilisation des cahiers de croquis avec l'intention de les propulser à une autre échelle. Comme le souligne Philippe Cyroulnik, « La position qu'il a choisie dans le champ de l'art nous permettra de comprendre la façon dont sa peinture - par la couleur, la forme et la lumière - a pu évoquer ou produire un paysage ; mais aussi s'en abstraire, pour se confronter à la peinture même. » Ce qui le préoccupe souvent, ce sont les conditions météorologiques, la lumière et la nature, comme en Patagonie, d’où est tirée la série de dessins sur papier qui proviennent d’un « cahier de voyage ». « A Campo Traviesa » est une exposition où la traversée des champs ou des paysages nous fait voyager dans une abstraction qui emprunte à une réalité visuelle abstraite totalement libre, telle qu’avaient entrepris les artistes Tal Coat ou Howard Hodgkin. La série de tableaux à l’huile est une exploration de « l'extrême lumière solaire, du paysage comme vision de l’âme humaine (Philipp Otto Runge), du symbolisme et de l’obstination à percevoir la nature. »

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Gabriel Folli

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Jérôme Touron

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Elodie Boutry

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Ruth-Maria Obrist

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Sanna Kannisto

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Marie-Amélie Porcher

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Corentin Lespagnol