Paris

À l’instar d’un chemin initiatique, les séries photographiques de Michel Eisenlohr poursuivent un même processus, celui du dépouillement des apparences. «Raconter au-delà» propose ainsi une sélection de photographies issues de trois reportages. Images de Syrie en 2002, carnet de voyage en argentique noir et blanc. Au fil des routes, d’Alep à Damas, en passant par Palmyre, il s’agit d’un hommage rendu à la beauté de ce pays et aux hommes qui l’ont bâti, aimé et protégé. Au cœur des territoires-frontières entre la France et l’Italie, Forts des confins propose une autre histoire de ces lieux, où la « grande » Histoire côtoie celle de l’infime. Où drame et mystère se rejoignent. A travers Huldufólk, Islande, le peuple caché, Michel Eisenlohr entreprend de relever un défi : photographier l’invisible… Inspiré par les contes et légendes, il rend compte par l’image de cet héritage immatériel. Et nous oblige à regarder au-delà.

La série N° 25 la Corderie a été conçue comme une déambulation au sein d’un appartement, à la fois lieu de vie et de travail de deux psychanalystes. Au travers de celle-ci sont interrogés le vécu des patients, la mémoire, l’intime, l’histoire familiale. Pensée d’emblée aussi comme un projet éditorial, la mise en page du livre associe également des photos d’archives, et des papiers peints d’origine. «Au 25 Bd de la Corderie deux cabinets de psychanalystes mais aussi lieu de vie depuis plus de trente ans. Souhait de garder trace par la photographie d’un lieu chargé, qui m’est tout autant familier (rituels des fêtes de famille pour familles décomposées et recomposées), qu’étranger (je n’y ai jamais vécu). Lieu étrange aussi de par le passage jour après jour de patients en quête d’écoute venus s’allonger sur le divan et dévider le temps d’une séance les fils d’une vie emmêlés. Silhouettes croisées, silence imposé, atmosphère feutrée, mystère du cabinet, espace interdit, lieu de mémoire, la vie reprend ses droits tard le soir et les jours de repos. Les murs dévoilent des bouts de vie, les tapisseries témoignent du temps passé et les armoires s’ouvrent sur les archives familiales. Travail sur la mémoire passée et présente, dire la filiation, avant que ne s’efface... »

L'esthétique irréprochable et troublante des images, prises dans les années 50 et 60 par Christer Strömholm, contraste avec la noirceur du sujet et préfigure les travaux de nombreux photographes contemporains comme ceux de Nan Goldin. Christer Strömholm est reconnu comme l'une des figures majeures de la photographie européenne du XXe siècle. Strömholm a capturé son environnement dans des images en noir et blanc qui montrent son intégrité, son humour discret et son esthétique très personnelle. Avec une sensibilité indéniable à la souffrance humaine, basée sur son expérience personnelle, il a amené la photographie dans une nouvelle direction. Sean O'Hagan, écrivant dans The Guardian, l'a décrit « comme le père de la photographie suédoise, à la fois pour son influence constante et pour son rôle d'enseignant ».Né à Stockholm, Strömholm découvre la photographie via les arts graphiques à la fin des années 1940. Dans les années 1950 et 1960, il vit la plupart du temps à Paris, où il développe son style particulier de photographie de rue. C'est ici qu'il réalise son œuvre la plus célèbre, « Vännerna Fran Place Blanche », hommage à un groupe de jeunes transsexuels avec lesquels il se lie d'amitié et dont il partage la vie pendant de nombreux mois. Ils étaient pour la plupart des étrangers, luttant pour survivre, leur principale source de revenus étant la prostitution. Dans ces photographies légendaires, prises de nuit dans la lumière disponible, Strömholm a fusionné la photographie de rue et le portrait, les représentant comme des amis proches qu'ils étaient, dans des portraits intimes et honnêtes, loin du spectaculaire ou de la spéculation. 6 photographies, tirage argentique sur papier baryté, signée CHR et marquée par l'empreinte digitale du photographe et la signature du tireur, Örjan Kristenson. Format 26 x 32,5 cm. Sophie Blondy

La photographie est venue à Thierry Valencin et elle a creusé en lui un espace pur qui perce les étincelles particulières de l'ombre. Son regard se définit en pudeur brute, et il touche une gravité à nu au fil de ses rencontres et de séances avec les modèles. Il photographie dans une conscience instinctive qui tend à cette densité d' "A la Vie à la Mort" ( comme dans la série des clichés sur la tauromachie ). C'est le mystère de l'apparition: un érotisme sourd et déchirant qui dévoile une volupté secrète. Ses photos résonnent en une puissance populaire et poétique. L'intemporalité et l'argentique nous mènent au bout d'un quai : celui des faubourgs d'antan qui éclairent pourtant le plein présent. Dans son Atelier à Paris, Thierry Valencin est l'un des derniers pionniers de la photographie. Sophie Blondy

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Emmy Bergsma

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L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Frédéric Coché

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L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Corentin Lespagnol

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Marie-Amélie Porcher

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Sanna Kannisto

L'exposition 'Pépites' proposera un ensemble d'oeuvres choisies pour ce qu'elles peuvent évoquer de merveilleux, d'étrange, voire d’extraordinaire. Ainsi, les petites peintures précieuses et intrigantes de Vincent Girard, les délicats diptyques de Jacqueline Taïb finement scintillants, comme les sculptures ludiques d'Elodie Boutry. Puis l’on découvrira les pièces feuilletées de Ruth-Maria Obrist enrichies de feuille d'or, les curiosités, comme les dragées ou les chaussons de Marie-Amélie Porcher, les impressions sur de précieuses dentelles de Michèle Cirès-Brigand, la pierre soufrée, encagée de Jérôme Touron, le tissage d’entrelacs herbacés de Fabrice Cazenave. Ensuite, la part de mystère intervient, avec les parcelles de Ruines de Frédéric Coché, le pastel délicat d'Emmy Bergsma et sa profondeur troublante, le trompe l'oeil, photographié dans un palais de Mantoue par Corentin Lespagnol. Et enfin, l’apparition d'un minerai de Sarah Ritter, l'envol d'un oiseau délicat de Sanna Kannisto, et les précieux livres-objets 'Studio view' de Gabriel Folli. Courtesy Galerie La Ferronnerie et Ruth-Maria Obrist