La Galerie LN est heureuse de vous inviter à découvrir la nouvelle exposition de l’artiste Hélène Jacob (LN).
À travers ses œuvres récentes réalisées au pastel, LN vous propose une escapade sensorielle au cœur de Venise. Ruelles baignées de lumière, reflets chatoyants sur les canaux, ambiances intimes ou grandioses… Chaque tableau est une invitation à flâner dans cette ville mythique, entre poésie et couleur.
Les vernissages auront lieu les jeudi 26 et vendredi 27 juin 2025 de 18h à 21h. Venez partager un verre à la galerie et vous laisser emporter par cette promenade artistique pleine de fraîcheur et d’émotion.
Mots-clés techniques
Matériaux
Pastel
Thèmes
Voyage
25/06/2025
30/07/2025
Galerie LN, 32 Rue Jacques Louvel-Tessier, 75010 Paris, France
L’étagère négligée
"Ma recherche s’est toujours appuyée sur l’espace de la cuisine et sur la mémoire collective enregistrée qui témoigne d’une culture commune dans l’espace domestique, mobilier et équipement culinaire, tables, chaises, carrelage, vaisselle, fruit légumes, ustensiles. Ces ustensiles participent d’une mémoire collective inscrite dans une culture culinaire en relation avec l’histoire des productions.
Dans le projet de « l’étagère négligée », l’intention est de de rappeler ces formes, les silhouettes de ces ustensiles oubliés sur une étagère, dans le recoin des cuisines. Les traiter en aplat ou en relief aplati comme des silhouettes que le regard ne repère plus et confond avec ses voisins de fortune dans une ombre approximative. Traiter ces silhouettes comme une sculpture, une frise qui vient ourler, flotter à hauteur des yeux, comme une pensée flottante. Le regard est alerté par une rémanence qui plonge dans une mémoire profonde sans certitude de l’identification. Une ombre en stratifiés vient détacher dans des accents colorés la masse de ces formes.
Il est question ici d’interroger la forme, et sa déchéance, ce point limite du reconnaissable, du fonctionnel où le matériau devient forme et vice versa, où la forme redevient matériau."
Courtesy Ghislaine Vappereau et Galerie la Ferronnerie
Mots-clés techniques
Matériaux
Matériaux recyclés
Périodes
XXIe siècle
Thèmes
Mémoire
14/06/2025
26/07/2025
Galerie La Ferronnerie, 40 rue de la Folie-Méricourt, 75011 Paris, France
Pour cette exposition, des œuvres de la série ‘Coup de poing’ viendront ponctuer l’espace de la galerie, pièces emblématiques de la manière dont Laurence Papouin transforme la matière de la peinture.
‘Elle transfère la souplesse de tissus malléables à la peinture mêlée à de la résine à laquelle elle fait prendre forme en quelques minutes, le temps que la matière sèche. Elle opère ainsi une translation de l’objet à la peinture, donnant à voir ce qui reste d’une peinture une fois qu’on lui a retiré tout support de tableau. La peinture chez Laurence Papouin n’est pas réduite à son support ; elle devient son propre support’ Extrait d’un texte de Marion Daniel
Courtesy Laurence Papouin et Galerie la Ferronnerie
Mots-clés techniques
Matériaux
Résine
Périodes
XXIe siècle
Types
Acrylique
14/06/2025
26/07/2025
Galerie La Ferronnerie, 40 rue de la Folie-Méricourt, 75011 Paris, France
Sous les apparences présentera un ensemble de ses nouveaux dessins, créés à St Malo au printemps 2025, Domaine de la Briantais.
En résidence à l'Atelier de l'Achille sur le Domaine de la Briantais, à Saint-Malo, j'ai travaillé sur une vingtaine d'œuvres, sur différents types de papier dont ceux, fragiles, de registres datant du 19ème siècle, récupérés aux Archives municipales. A partir de photographies Polaroid prises durant mon séjour, principalement en bord de mer et sur les chemins boisés, et quelques-unes plus anciennes trouvées aux Archives, j'ai profité de cette résidence de deux mois pour expérimenter l'association de plusieurs techniques, dont celle du monotype, rehaussé de fusain, d'encre de Chine, de brou de noix, d'aquarelle et parfois de collages. Un travail sur le paysage et sur l'expérience de vie, donnant lieu à un renouvellement des formes dans ma pratique du dessin, l'affirmation d'une gestuelle plus légère, brute et spontanée". G Folli, mai 2025.
Courtesy Gabriel Folli et Galerie la Ferronnerie
Mots-clés techniques
Matériaux
Brou de noix
Encre de Chine
Fusain
Périodes
XXIe siècle
Procédés
Monotype
Régions
Europe
Types
Aquarelle
Thèmes
Expérience
Paysage
14/06/2025
26/07/2025
Galerie La Ferronnerie, 40 rue de la Folie-Méricourt, 75011 Paris, France
Sous les apparences proposera une série d’œuvres où Fabrice s’est attaché à restituer les variations lumineuses perçues au cours d’une journée.
La série ‘Les heures’ comporte neuf dessins au pastel sur tissu rose délavé, réalisés en plein air en 2018. Elle tente de capter l’apparition de la couleur au fil des heures. La subtilité des motifs rend délicate la perception de ces oeuvres. Changeantes, leur alignement en série génère une variation des nuances, de la blancheur de l’aube aux mauves du crépuscule, éclairées de jaune à la mi-journée. Ces dessins, un écho aux recherches des impressionnistes quant au mouvement de la lumière, sont aussi en résonance pour Cazenave, à la structure du roman les Vagues de Virginia Woolf. La couleur agit ainsi, au long d’une journée en forêt, comme un marqueur du temps.
Courtesy Fabrice Cazenave et Galerie la Ferronnerie
Mots-clés techniques
Matériaux
Pastel
Périodes
XXIe siècle
Supports
Tissu
Thèmes
Temps
14/06/2025
26/07/2025
Galerie La Ferronnerie, 40 rue de la Folie-Méricourt, 75011 Paris, France
Passionnée par la sensualité du corps et ses mystères, Charly M joue des textures et des matières… à sensation. Les autoportraits de Charly M montrent à quel point son corps est son terrain de jeu et de découvertes. Une autobiographique sur son enfance et sa sexualité. Charly M expérimente afin d'obtenir des rendus photographiques troublants, en marge de la norme.
Dans la série "Poulpe", ce n'est plus elle qui dessine mais les tentacules de l’animal sur son corps. Entre étrangeté et érotisme.
Mots-clés techniques
Périodes
XXIe siècle
Supports
Papier coton
Thèmes
Autoportrait
Érotisme
Sexualité
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
Fondatrice de la galerie de l’intime Rachel Hardouin, conseil en communication, Rachel Hardouin pratique la photographie depuis 1996. C’est son média de prédilection. Armée de son smartphone, sa révolution 2.0, elle creuse un espace de liberté, fusion du corps, de l’esprit et d’une touche de… Une trinité.
Chaque photographie est le morceau d’une enquête sur le chemin parcouru, les défis du destin et du regard de l’autre,… jusqu’à valoriser son propre regard par l’acte de l’autoportrait.
Défier le temps, défier la précision, lâcher prise.
Accepter l’inattendu, accueillir l’imprévu.
« Regarde qui je suis » est une série de photographies, en mode voyeur, sur le corps, sur des détails de l’enveloppe peau. Le flow, expression de la vie, qui va et qui vient ; expression du vivant qui s’abrite dans cette enveloppe, et chahute notre art de vivre et nos habitudes.
Mots-clés techniques
Périodes
XXIe siècle
Supports
Papier perlé
Thèmes
Corps
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
Hormoz construit une œuvre, adoptant la posture d’un explorateur du vivant. Dans le Paris underground, il capte le voile caché de la vie sous-jacente de certains occupants de la ville Lumière.
Paradoxe, opposition, confrontation, son regard creuse là où certains le détournent et se voilent la face. Hormoz s’autorise à dépouiller les ruptures de notre existence pour en délivrer la quintessence, telle une psyché à ciel ouvert.
Mots-clés techniques
Périodes
XXIe siècle
Procédés
Photographie argentique
Régions
Europe
Thèmes
Existence
Portrait
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
La démarche 2.0 de la photographe s’inscrit dans notre temps, il revendique son appartenance au 21e siècle. Et justement, notre modernité met à la portée de tous des outils multifonctionnels et hyper performants qui accélèrent notre quotidien en révolutionnant la communication et le traitement de l’information. L’extension des réseaux sociaux ouvre l’ère de l’instantané dans le lien social. Aujourd’hui, le Smartphone est emblématique de ces transformations prodigieuses. C’est un organe qui devient une extension de notre corps individuel vers le corps social. La pratique de la photographie s’en trouve bouleversée, c’est un fait. Elle devient capable de produire immédiatement un langage universel qui, à tout moment et de n’importe où, peut toucher n’importe qui. Chacun devient donc, qu’il le sache ou non, acteur de ce langage. Mais ce langage se vide d’être pure information.
La démarche de Sylvie Aflalo s’enracine là entre autres : prendre l’outil banal qu’est le Smartphone pour regarder et photographier ce qui ne se donne pas à voir, en créant son propre langage pour l’inscrire dans une certaine durée. Le Smartphone banalise l’usage de la photographie et met particulièrement en relief que ce qui fait la photo, c’est la singularité du regard. Avec le Smartphone, elle utilise un objet contemporain paradigmatique comme un ready-made : elle en détourne l’usage habituel. Il s’agit de prendre le temps de faire des photos (certaines ne dédaignent pas une certaine référence académique) et de les basculer sur les réseaux sociaux pour en trouer le vide que le flux usuel des images banales laisse derrière lui. La composition de ses photos vise donc à subvertir le principe même des images 2.0.
Mots-clés techniques
Dominantes
Noir et blanc
Périodes
XXIe siècle
Supports
Papier coton
Thèmes
Disparition
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
À l’aide d’une boite lumineuse ou d’un faisceau de lumière qu’il confie à son modèle, Jérémie Nassif, dans sa dernière série home cooked nudes, confronte le réel et l’impressionnisme ne cherchant à montrer que la nature et la grâce de la forme humaine. La lumière devient peinture. Digne héritier des recherches des surréalistes qui expérimentent le light painting dès les années 30, Jérémie Nassif ose la rencontre anachronique d’Alexey Brodovitch et de Robert Mapplethorpe. Rien que cela !
L’artiste réconcilie l’art de capter le mouvement et de délivrer un grain de peau sublime, le tout imprimé selon la technique de la Piezography sur un papier japonais en fibre de bambou. Le temps de pause absolument dilaté invite le spectateur à reconsidérer l’instant présent. De quel « présent » parlons-nous : le temps du présent ou « the present », tel que les anglo-saxons nomment le cadeau ? Et si la série home cooked nudes n’était qu’une déclaration d’amour ? Le message d’un homme aux femmes qu’il rencontre et qu’il choisit de photographier comme pour sceller une nouvelle amitié autour d’une création ?
Mots-clés techniques
Dominantes
Noir et blanc
Périodes
XXIe siècle
Supports
Papier japonais en fibre de bambou
Thèmes
Amitié
Amour
Femmes
Nu
Portrait
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
Cela aurait pu être, tout aussi bien, la Côte d’Azur… Il y avait le soleil, la mer et pendant la pause déjeuner, elle s’est nonchalamment jetée sur le Riva…
Yoichiro Sato, ou l’impertinente innocence.
Capter l’instant, l’instant magique, l’instant éphémère par définition, le moment juste qui révèlera au monde la pureté de l’être… Yoichiro Sato se cache volontiers derrière son objectif pour mieux se faire le complice de son modèle. Impertinent, il a l’ambitieux dessein de capturer des fractions d’éternité. Bien sûr, comme pour tout photographe, il sera dans ses photos question de lumière. Précis jusqu’à la maniaquerie, ce Japonais multiculturel choisira la « golden hour » ou « heure bleue », des moments extraordinaires qui se situent peu avant le lever du soleil ou peu après le coucher du soleil… Pendant ces quelques heures, la lumière joue un rôle déterminant pour la photographie : sa douceur est un véritable baume qui lisse et embellit les traits du modèle – cela, depuis toujours, le photographe de mode le sait et, qu’il soit à New York, Tokyo, Paris ou sur une île paradisiaque, les mêmes causes produiront les mêmes effets. Cependant, au-delà de cette recherche plastique qui ne pourrait être que purement esthétique, Yoichiro Sato, face à son modèle attend bien autre chose.
Il est en quête de l’expression vraie, de l’expression intemporelle, de cette expression que tout être conservera toute sa vie. » Catherine Örmen, conservatrice du patrimoine et une historienne de la mode.
Mots-clés techniques
Dominantes
Noir et blanc
Périodes
XXe siècle
Procédés
Photographie argentique
Thèmes
Portrait
Pureté
Temps
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
Une ligne pure, une ligne envoutante. Le premier regard ne capte pas toujours ce que d’évidence l’artiste Soazic DE couche sous nos yeux, sur la page blanche, comme pour la faire frissonner. Les topographies de Soazic DE racontent des histoires sensuelles, charnelles, sexuelles, sm, inhabituelles à nos regards façonnés par les topographies formelles. Déconstruire et nous connecter avec humour à nos fantasmes : Soazic DE ouvre la porte des abimes, par touches délicates, avec nonchalance, comme un effeuillage méthodique de nos paysages intimes. Des paysages naturels fragmentés de scènes sexuées à la perfection. Le maître de jeu, c’est vous, le regardeur, le voyeur, qui oscille entre luxure et humour. Un sourire s’esquisse enfin, fasciné par la cartographie de vos désirs. Collection de dessins impudiques.
Mots-clés techniques
Matériaux
Encre
Périodes
XXIe siècle
Supports
Papier
Thèmes
Érotisme
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
L’enfant terrible de la peinture underground présente une sélection de dessins inédits. Un fonds personnel.
Cette sélection met en scène des corps, des chimères, des possibilités poétiques.
Le féminin se meurt : il existe dans une nature plus vaste, moins contrôlable.
Un univers ténébreux, maitrisé avec la dextérité de celles et ceux qui dessinent avec leur âme et avec leur corps - tout entier. C’est le corps qui est mis en lumière, avec humour, dans le noir de l’encre sur la feuille blanche.
Simple et déchirant comme tout ce qui nous dépasse.
Mots-clés techniques
Dominantes
Noir
Matériaux
Encre
Supports
Papier
Thèmes
Corps
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
Chaque œuvre est un passage vers le monde intérieur d’Emmanuelle.
Bienvenue dans son univers fantasmagorique.
Elle délivre, telles les pièces d’un puzzle oublié, des clés d’entrée pour mieux comprendre nos relations et nos destinées.
Au détour d’un dessin automatique, l’humour. OUPS.
Dans le creux de ses pastels, l’amour. LE MUSCLE QUI TRAVAILLE LE MOINS.
Dans la fluidité des encres de couleurs, un hymne à la beauté du vivant.
Dans l’huile, la patience.
Le corps meurtri n’est jamais loin, le cœur blessé, comme une plaie ouverte aux infamies du réel. Sa zone de repli ? Sa vue sur les toits de Paris 6e, son chat, la littérature, et le silence brisé par les accords d’un groupe de rock anglais ou américain. La figuration du corps, l’abstraction de l’esprit. L’art d’Emmanuelle Messika dérange celles et ceux qui cherchent à l’enfermer dans un courant ou à l’étiqueter d’un style.
Emmanuelle dérange, c’est précisément ce qui nous attache à elle et à son talent totalement en marge. Toujours en quête de rencontres artistiques et de techniques, l’artiste avec un grand A.
Mots-clés techniques
Types
Gravure
Thèmes
Corps
Destin
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
Antoine Poupel rencontre Alain Bernardin, le fondateur du Crazy Horse, en 1992.
Il réalise une série de portraits dits monotypes, œuvres uniques à caractère se situant à la frontière du photographique et du pictural.
Chaque portrait a été effectué à la suite d’une rencontre et d’un long échange avec la personne photographiée. Alain Bernardin avait choisi de se faire photographier au musée du Louvre devant un sarcophage égyptien.
Antoine Poupel est devenu le seul photographe homme officiel du Crazy Horse à produire des images sur scènes et en loges, durant trente ans. Il est rare qu’un artiste suive sur une si longue période une compagnie et qu’il possède autant d’archives.
Ces images ont souvent été exposées et publiées dans les musées, les galeries,… en particulier au Japon. À partir de 2021, à l’occasion d’un hommage à son ami Sam Sazfran, il revisite certaines images du Crazy Horse avec ses pastels.
Chaque œuvre est unique.
Mots-clés techniques
Dominantes
Noir et blanc
Périodes
XXIe siècle
Dessin
Matériaux
Pastel gras
Photographie
Procédés
Photographie argentique
Thèmes
Portrait
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
Diplômée des Beaux-Arts de Paris en peinture, Julia Rolland fait ses études dans l'atelier Jean Michel Alberola. "Frères Boxeurs" réalisée en 2007 marque le début d'une recherche picturale sur la figure d'après photo, et en particulier sur la thématique du double. Apparition / Disparition de la figure dans le tableau, ainsi que le figement de l'image dans le temps de peinture. Les images glanées sur internet, dans des livres et des journaux, des albums de famille, des films et séries, ou élaborées par l'artiste elle-même par le travail photographique et vidéo, sont ensuite réinterprétées en peinture. L'arrêt sur image saisit le mouvement en action et l'émotion en présence ou en absence dans le cadrage serré sur les visages. Il est alors possible de réinventer la construction du portrait par le tableau dans la confrontation aux media contemporains. Les contextes sociaux-politiques des images choisies valorisent l'histoire individuelle et collective tout en réactivant des motifs inconscients. Dans ses natures mortes d'objets a priori insignifiants, Julia Rolland joue avec le cadre et la dynamique de construction du tableau. L'objet immobile semble en mouvement dans le dialogue de sa forme avec le format carré du tableau. La représentation d'images dans des objets - diapositive, photo – met en avant le motif du tableau dans le tableau, du contenant et du contenu, dans un jeu avec l'histoire de la nature morte et du trompe-l'œil pictural.
Mots-clés techniques
Supports
Toile
Types
Huile
Thèmes
Mouvement
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
Les recherches de Sophie s’ancrent sur le déni. Le déni des violences familiales, conjugales et/ou systémiques subies par les petites filles puis par les femmes qu’elles deviendront. On admire souvent « l’enfant sage ». Cet enfant qui ne dérange pas. Les enfants modèles seraient des Sophie, en quelque sorte. Sophie vient du grec sophia, qui signifie « sagesse » et « savoir ». Dans certaines familles, cette sagesse apparente est le symptôme silencieux d’un traumatisme. Pour survivre, l’enfant sage, le « bon enfant » apprend à mentir sur ce qu’il ressent et sur ce qu’il désire. Il dissocie progressivement ce qu’il vit intérieurement de ce qu’il montre. Les violences sont souvent invisibles : elles sont perpétrées principalement au sein de la cellule familiale, en toute impunité, et protégées par une omerta institutionnalisée. Le film « Jeanne Dielman, 23 quai du commerce, 1080 Bruxelles » de Chantal Akerman est un véritable choc. Un détonateur.
L’exploration de la représentation du dysfonctionnement dans son travail artistique débute avec la série « Maisons déracinées ». Plusieurs séries sont en construction, « Journal intime d’images roses », « Une femme doit toujours arrondir les angles », « Minitel rose », « Kindness litany », « Dot & Antidote » et « Ultra Pink », fouillant les violences faites aux femmes, à l’aide de média très différents, tels que la peinture, le dessin, la vidéo, le textile, la céramique, les installations. Toutes ces séries ont pour fil conducteur la couleur rose, signature identitaire de la prise de parole de Sophie Lormeau.
Mots-clés techniques
Dominantes
Rose
Périodes
XXIe siècle
Régions
Europe
Arts textiles
Matériaux
Soie
Peinture
Types
Acrylique
Thèmes
Déni
Violence
04/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
Photographe et directeur de la photographie basé à Paris. Né à Gateshead, Royaume Uni, en 1957. Gordon Spooner rejoint Paris en 1980, après avoir travaillé comme éclairagiste à la Royal Shakespeare Company.
Directeur de la photographie depuis 1996, il collabore à plus de quatre cent publicités et clips vidéo, ainsi qu'à plusieurs documentaires et longs métrages. En marge, il crée une œuvre photographique qui valorise la fugacité du moment présent : ce moment que l’on perçoit et qui précisément nous échappe. Gordon capte le mouvement et la lumière d’un instant, il collabore avec des artistes, des danseurs et des personnes de son entourage.
Mots-clés techniques
Procédés
Impression jet d'encre
Supports
Papier coton
Thèmes
Lumière
Mouvement
Portrait
05/07/2025
19/07/2025
Galerie Rachel Hardouin, 15 rue Martel, 75010 Paris, France
ÉCRITURES EN COULEUR
13 mai au 11 juillet 2025
Sortie du Cahier en coédition Kourd – Enseigne des Oudin
Jeudi 5 juin, de 18 h à 20 h
Pierre Restany est au cœur de cet aller-retour ATHÈNES–PARIS.
Cet ensemble, exposé à la galerie Kourd à Athènes jusqu’en janvier 2025 sous le commissariat d’Eleni Varopoulou, est maintenant présenté à Paris, à l’Enseigne des Oudin.
Un ouvrage trilingue — grec, français, anglais — coédité avec la galerie Kourd réunit les textes d’Eleni Varopoulou et d’Olivier Kaeppelin.
Mots-clés techniques
Mouvements
Art abstrait
Procédés
Pinceau
Types
Acrylique
Aquarelle
Encre
Thèmes
Ambition
Art
Existence
Intérieur
Lumière
Passion
Secret
13/05/2025
11/07/2025
Enseigne des Oudin, 4 rue Martel, 75010 Paris, France
ÉCRITURES EN COULEUR
13 mai au 11 juillet 2025
Sortie du Cahier en coédition Kourd – Enseigne des Oudin
Jeudi 5 juin, de 18 h à 20 h
Pierre Restany est au cœur de cet aller-retour ATHÈNES–PARIS.
Cet ensemble, exposé à la galerie Kourd à Athènes jusqu’en janvier 2025 sous le commissariat d’Eleni Varopoulou, est maintenant présenté à Paris, à l’Enseigne des Oudin.
Un ouvrage trilingue — grec, français, anglais — coédité avec la galerie Kourd réunit les textes d’Eleni Varopoulou et d’Olivier Kaeppelin.
Mots-clés techniques
Mouvements
Art abstrait
Procédés
Pinceau
Types
Acrylique
Aquarelle
Encre
Thèmes
Ambition
Art
Existence
Intérieur
Lumière
Passion
Secret
13/05/2025
11/07/2025
Enseigne des Oudin, 4 rue Martel, 75010 Paris, France
ÉCRITURES EN COULEUR
13 mai au 11 juillet 2025
Sortie du Cahier en coédition Kourd – Enseigne des Oudin
Jeudi 5 juin, de 18 h à 20 h
Pierre Restany est au cœur de cet aller-retour ATHÈNES–PARIS.
Cet ensemble, exposé à la galerie Kourd à Athènes jusqu’en janvier 2025 sous le commissariat d’Eleni Varopoulou, est maintenant présenté à Paris, à l’Enseigne des Oudin.
Un ouvrage trilingue — grec, français, anglais — coédité avec la galerie Kourd réunit les textes d’Eleni Varopoulou et d’Olivier Kaeppelin.
Mots-clés techniques
Mouvements
Art abstrait
Procédés
Pinceau
Types
Acrylique
Aquarelle
Encre
Thèmes
Ambition
Art
Existence
Intérieur
Lumière
Passion
Secret
13/05/2025
11/07/2025
Enseigne des Oudin, 4 rue Martel, 75010 Paris, France
La galerie ISO vous propose de découvrir la série de photographies "Réflexions de Femmes", réalisée par Henry Thurel.
Photographe publicitaire, il crée son propre studio à l’issue de sa formation à l’école Vaugirard (Ecole Nationale de la Photographie Louis Lumière). Depuis toujours au service de l’image des entreprises (Renault, Microsoft, Norton-Symantec, Xerox, Lexmark, Millipore, Soviba), Henry Thurel aime satisfaire les directeurs artistiques les plus exigeants, en studio ou sur site, par sa précision et son expérience de la prise de vues et de la mise en lumière. Spécificités que l’on retrouve dans son travail personnel.
Henry accompagne également le réalisateur Frédéric Tonolli pour la partie images fixes de ses tournages.
Francesco Martini, diplômé de l'Académie des Beaux-Arts de Florence, est un artiste pour qui le mouvement et la matérialité du corps sont une expression à part entière. S'emparant des médiums classiques, peinture, fusain, mais aussi parfois d'objets signifiants, il crée un moment autant qu'une œuvre lors de performances publiques. Si Francesco ressent certaines influences comme les mouvements Gutai ou l'Actionnisme Viennois, sa démarche est avant tout intensément introspective, tout en posant les bases d'une abolition de la distance entre le public et l'art. Après plusieurs expositions et résidences en Italie et en France, Francesco Martini ouvrira son solo show chez Oblique Nuage par une nouvelle performance et la création d'une oeuvre in situ.
« J'aimerais pouvoir relier le monde comme un grand filet, un grand gribouillage, qui puisse devenir un lien entre l'art et le non-art. L'essence créative est inhérente à chacun, quoi que nous fassions, et le gribouillage devient l'expression unique de notre identité. » Francesco Martini
Mots-clés techniques
Mouvements
Art abstrait
Périodes
XXIe siècle
Procédés
Pinceau
Réalisé à la main
Régions
Europe
Supports
Toile
Types
Acrylique
Composition mixte
Thèmes
Catharsis
Création
Identité
Introspection
Rapport au monde
07/06/2025
15/06/2025
Oblique Nuage, 19 Rue de la Mare, 75020 Paris, France
Au fil des images présentées, affleurent la lente course du temps, des fragments d’histoires discrètement offertes par des semblables ou des situations glanées au souvenir de mondes. Pour que ne s’effacent la sérénité fugace, la vivacité soudaine ou l’inopiné de ces Chronique(s) Passagère(s), demeurent la photographie et les fenêtres qu’elle ouvre sur les murs de la Galerie Taylor.
Né en 1965, Frédéric NOY est un photographe français dont la démarche documentaire privilégie la chronique comme mode narratif. Son travail s’inscrit dans une succession de projets qui prennent leur temps, en quête de perception et de description dépourvues, autant que possible, d’ethnocentrisme. Successivement basé en Tanzanie, au Nigeria, au Soudan, au Tchad, en Ouganda, au Kazakhstan et en Inde, ses récits photographiques s’attardent sur les creux de l’actualité, sur des histoires inattendues ou sur l’existence de populations socialement exclues, stigmatisées, ou en prise avec les conséquences de conflits ou de dilemmes contemporains.
Mots-clés techniques
Périodes
XXIe siècle
Régions
Afrique
Thèmes
Conflit
Injustice
Paysage rural
Portrait
Scène de rue
24/04/2025
11/06/2025
Atelier/Galerie Taylor, 7 Rue Taylor, 75010 Paris, France
Née dans une famille d'artistes avec un papa musicien de jazz, Danièle CREY nourrit depuis l'enfance deux passions profondément liées : la peinture et la danse.
"Ma peinture est une aventure artistique et spirituelle. L'acte de peindre me connecte avec moi-même et l'univers. Dans un état de réceptivité et mûrie par la réflexion, je commence par la matière. Ma peinture est abstraite. La couleur et ma gestuelle construisent l'espace, expriment mon univers intérieur, riche d'émotions, porté par ma poésie et avec dérapage né de l'imprévu, gracieux cadeau inattendu pour un supplément d'âme. Ma création est toujours en évolution par la recherche, la remise en question, l'observation et le lâcher prise. J'utilise de la peinture acrylique, de la poudre de marbre, pigments".
Artiste à la sensibilité "à fleur de peau", Danièle CREY nous invite irrésistiblement dans l'infini de son humanité créative. Dépassant l'abstrait, son geste de l'instant prend la dimension d'une éternelle réalité. Un art saisissant de beauté profonde qui s'impose naturellement à nous sans chercher à s'imposer... "être sans forcément paraître", tout simplement. Une création toujours en évolution, comme une irrésistible pulsion de synthèse vers l'essentiel". (Jean-Yves Masset)
Mots-clés techniques
Matériaux
Pigments
Poudre de marbre
Mouvements
Art abstrait
Types
Acrylique
05/06/2025
09/06/2025
La Varangue, 21 Rue Edmond Bergès, 32190 Vic-Fezensac, France
Estefania Bouchot a étudié les arts visuels à Mexico. Elle travaille actuellement comme artiste à Paris, où elle est également chef dans un restaurant mexicain. Son travail, principalement en céramique, fait appel à la pensée magique, à l'affection poétique, à l'ambiguïté et au mystère comme stratégie pour habiter les possibilités. Le fantôme, ici, représente cette image de soi qui, en raison de l'écart entre l'individu et son existence, devient une figure floue, insaisissable. Parfois, on peut ressentir que l’on n’est pas pleinement vivant, ce paradoxe où l’être se vit comme mort.
L’exposition Flore et Zéphyr propose de mettre en résonance ‘La baignade’ de Frédéric Coché, une grande peinture triptyque et un ensemble composé in situ de photos de Catherine Larré, disposées sur un fond rejouant une précédente installation (Anthèses, Musée Charles Nègre, Nice, 2022) A côté, de nouveaux dessins et eaux-fortes de Frédéric Coché, ainsi qu’un ensemble de photographies de Catherine Larré.
Courtesy Frédéric Coché et Galerie la Ferronnerie
Mots-clés techniques
Périodes
XXIe siècle
Supports
Toile
Types
Huile
Thèmes
Flore
03/05/2025
06/06/2025
Galerie La Ferronnerie, 40 rue de la Folie-Méricourt, 75011 Paris, France
L’exposition Flore et Zéphyr propose de mettre en résonance ‘La baignade’ de Frédéric Coché, une grande peinture triptyque et un ensemble composé in situ de photos de Catherine Larré, disposées sur un fond rejouant une précédente installation (Anthèses, Musée Charles Nègre, Nice, 2022) A côté, de nouveaux dessins et eaux-fortes de Frédéric Coché, ainsi qu’un ensemble de photographies de Catherine Larré.
Courtesy Frédéric Coché et Galerie la Ferronnerie
Mots-clés techniques
Matériaux
Crayon
Périodes
XXIe siècle
Thèmes
Flore
03/05/2025
06/06/2025
Galerie La Ferronnerie, 40 rue de la Folie-Méricourt, 75011 Paris, France
L’exposition Flore et Zéphyr propose de mettre en résonance ‘La baignade’ de Frédéric Coché, une grande peinture triptyque et un ensemble composé in situ de photos de Catherine Larré, disposées sur un fond rejouant une précédente installation (Anthèses, Musée Charles Nègre, Nice, 2022) A côté, de nouveaux dessins et eaux-fortes de Frédéric Coché, ainsi qu’un ensemble de photographies de Catherine Larré.
Courtesy Catherine Larré et Galerie la Ferronnerie
Mots-clés techniques
Périodes
XXIe siècle
Thèmes
Flore
03/05/2025
06/06/2025
Galerie La Ferronnerie, 40 rue de la Folie-Méricourt, 75011 Paris, France
Galerie SATELLITE, 7 rue François de Neufchâteau, 75011 Paris, France
01 43 79 80 20
Estampe |Claudia Talavera
Artivistas |France
Despertar
Despertar célèbre le dialogue continu entre tradition et innovation, en présentant des œuvres d’artistes péruviens contemporains qui allient leur héritage culturel aux expressions artistiques modernes. L’exposition présente différents médiums : de la peinture à la sculpture, en passant par la gravure et la photographie. Elle révèle comment ces artistes abordent des problématiques mondiales urgentes, comme la justice sociale, les fondements de l’identité et les évolutions technologiques, tout en s’appuyant sur des choix de couleurs, une iconographie, des textures et des techniques enracinées dans la riche histoire artistique du Pérou.
Les artistes : Juan Raúl Machaca de Aquino (né à Arequipa en 1970), Joseph Firbas (né à Lima, en 1962), Rocío Snyder (née à Santa Cruz, California en 1985), Augusta Sarria Larco (née à Lima en 1953), Yezzenia Sánchez (née à Celendín, Cajamarca), Luisa Fernanda Ayllón (née à Lima, mais sa famille a toujours vécu dans la région d’Ica), César Ayllón (né à Lima), Moisés Escriba (né à Lima, de parents Ayacuchanos), Ángel Surichaqui (né à Lima. Ses parents sont originaires de Huancayo, Junín), Américo Maqui (né dans la région de Puno en 1989), Héctor Acevedo (né à Lima), Sara Merel (née à Lima en 1965), Chiara Chocano (née à Lima), Jacqueline Rodríguez de Guzmán (née à Trujillo, La Libertad), Valeria Gatti (née à Lima en 1982), Claudia Talavera (née à Lima en 1980).
Despertar célèbre le dialogue continu entre tradition et innovation, en présentant des œuvres d’artistes péruviens contemporains qui allient leur héritage culturel aux expressions artistiques modernes. L’exposition présente différents médiums : de la peinture à la sculpture, en passant par la gravure et la photographie. Elle révèle comment ces artistes abordent des problématiques mondiales urgentes, comme la justice sociale, les fondements de l’identité et les évolutions technologiques, tout en s’appuyant sur des choix de couleurs, une iconographie, des textures et des techniques enracinées dans la riche histoire artistique du Pérou.
Les artistes : Juan Raúl Machaca de Aquino (né à Arequipa en 1970), Joseph Firbas (né à Lima, en 1962), Rocío Snyder (née à Santa Cruz, California en 1985), Augusta Sarria Larco (née à Lima en 1953), Yezzenia Sánchez (née à Celendín, Cajamarca), Luisa Fernanda Ayllón (née à Lima, mais sa famille a toujours vécu dans la région d’Ica), César Ayllón (né à Lima), Moisés Escriba (né à Lima, de parents Ayacuchanos), Ángel Surichaqui (né à Lima. Ses parents sont originaires de Huancayo, Junín), Américo Maqui (né dans la région de Puno en 1989), Héctor Acevedo (né à Lima), Sara Merel (née à Lima en 1965), Chiara Chocano (née à Lima), Jacqueline Rodríguez de Guzmán (née à Trujillo, La Libertad), Valeria Gatti (née à Lima en 1982), Claudia Talavera (née à Lima en 1980).
Despertar célèbre le dialogue continu entre tradition et innovation, en présentant des œuvres d’artistes péruviens contemporains qui allient leur héritage culturel aux expressions artistiques modernes. L’exposition présente différents médiums : de la peinture à la sculpture, en passant par la gravure et la photographie. Elle révèle comment ces artistes abordent des problématiques mondiales urgentes, comme la justice sociale, les fondements de l’identité et les évolutions technologiques, tout en s’appuyant sur des choix de couleurs, une iconographie, des textures et des techniques enracinées dans la riche histoire artistique du Pérou.
Les artistes : Juan Raúl Machaca de Aquino (né à Arequipa en 1970), Joseph Firbas (né à Lima, en 1962), Rocío Snyder (née à Santa Cruz, California en 1985), Augusta Sarria Larco (née à Lima en 1953), Yezzenia Sánchez (née à Celendín, Cajamarca), Luisa Fernanda Ayllón (née à Lima, mais sa famille a toujours vécu dans la région d’Ica), César Ayllón (né à Lima), Moisés Escriba (né à Lima, de parents Ayacuchanos), Ángel Surichaqui (né à Lima. Ses parents sont originaires de Huancayo, Junín), Américo Maqui (né dans la région de Puno en 1989), Héctor Acevedo (né à Lima), Sara Merel (née à Lima en 1965), Chiara Chocano (née à Lima), Jacqueline Rodríguez de Guzmán (née à Trujillo, La Libertad), Valeria Gatti (née à Lima en 1982), Claudia Talavera (née à Lima en 1980).
Despertar célèbre le dialogue continu entre tradition et innovation, en présentant des œuvres d’artistes péruviens contemporains qui allient leur héritage culturel aux expressions artistiques modernes. L’exposition présente différents médiums : de la peinture à la sculpture, en passant par la gravure et la photographie. Elle révèle comment ces artistes abordent des problématiques mondiales urgentes, comme la justice sociale, les fondements de l’identité et les évolutions technologiques, tout en s’appuyant sur des choix de couleurs, une iconographie, des textures et des techniques enracinées dans la riche histoire artistique du Pérou.
Les artistes : Juan Raúl Machaca de Aquino (né à Arequipa en 1970), Joseph Firbas (né à Lima, en 1962), Rocío Snyder (née à Santa Cruz, California en 1985), Augusta Sarria Larco (née à Lima en 1953), Yezzenia Sánchez (née à Celendín, Cajamarca), Luisa Fernanda Ayllón (née à Lima, mais sa famille a toujours vécu dans la région d’Ica), César Ayllón (né à Lima), Moisés Escriba (né à Lima, de parents Ayacuchanos), Ángel Surichaqui (né à Lima. Ses parents sont originaires de Huancayo, Junín), Américo Maqui (né dans la région de Puno en 1989), Héctor Acevedo (né à Lima), Sara Merel (née à Lima en 1965), Chiara Chocano (née à Lima), Jacqueline Rodríguez de Guzmán (née à Trujillo, La Libertad), Valeria Gatti (née à Lima en 1982), Claudia Talavera (née à Lima en 1980).
Despertar célèbre le dialogue continu entre tradition et innovation, en présentant des œuvres d’artistes péruviens contemporains qui allient leur héritage culturel aux expressions artistiques modernes. L’exposition présente différents médiums : de la peinture à la sculpture, en passant par la gravure et la photographie. Elle révèle comment ces artistes abordent des problématiques mondiales urgentes, comme la justice sociale, les fondements de l’identité et les évolutions technologiques, tout en s’appuyant sur des choix de couleurs, une iconographie, des textures et des techniques enracinées dans la riche histoire artistique du Pérou.
Les artistes : Juan Raúl Machaca de Aquino (né à Arequipa en 1970), Joseph Firbas (né à Lima, en 1962), Rocío Snyder (née à Santa Cruz, California en 1985), Augusta Sarria Larco (née à Lima en 1953), Yezzenia Sánchez (née à Celendín, Cajamarca), Luisa Fernanda Ayllón (née à Lima, mais sa famille a toujours vécu dans la région d’Ica), César Ayllón (né à Lima), Moisés Escriba (né à Lima, de parents Ayacuchanos), Ángel Surichaqui (né à Lima. Ses parents sont originaires de Huancayo, Junín), Américo Maqui (né dans la région de Puno en 1989), Héctor Acevedo (né à Lima), Sara Merel (née à Lima en 1965), Chiara Chocano (née à Lima), Jacqueline Rodríguez de Guzmán (née à Trujillo, La Libertad), Valeria Gatti (née à Lima en 1982), Claudia Talavera (née à Lima en 1980).
Après le succès de la première exposition "EROS & THANATOS", qui a réuni 120 oeuvres de 36 artistes, l'Enseigne des Oudin poursuit la mise en lumière des artistes de sa collection avec un deuxième volet de cette exposition entre création, l'amour, le désir de vivre & la destruction, la fin, la pulsion de mort.
En mobilisant à nouveau l’ensemble de la collection du Fonds de dotation, augmentée des pièces confiées par Frédéric Acquaviva, cette seconde édition élargit encore le spectre des regards artistiques sur les désirs, les interdits et la finitude.
Artistes exposés:
ACQUAVIVA, AGULLO, ALTMANN, ALTAGOR, ATHÉNAîS-DALMORE, BISTRA, BORY, BOURGEADE, BRUS, CAUWET, CHABOT, CHAMANT, CHAPMAN, COSTES, DEVAUX, DIGEON, ESSELLEBÉE, FÉLIX, FILLIOU, FLANDRIN, GETTE, GRIGORESCU, GUYOTAT, HALBERT, HUBAUT, IANONNE, ISOU, JOURNIAC, KACK, KAWAZU, LAPOUJADE, LATTIER, LEMAîTRE, LEWANDOWSKA, MACCHERONI, MARIE.L, MAURITZ, MOLINIER, NOVIANT, ORLAN, PARANT, PARASCHIV, PLÜSCHOW, POMERAND, RIBIERE, SALMON, SCHRUDER, TICHY, UGHETTO, WOLMAN, XATREC, YAMAJI, ZHANG
Mots-clés techniques
Dominantes
Rose
Autres
Résine
Thèmes
Amour
Corps
Personnages
13/03/2025
30/04/2025
Enseigne des Oudin, 4 rue Martel, 75010 Paris, France
Warffemius (né en 1956, Pays-Bas) peint et dessine depuis des années de fragiles pousses, bourgeons, brindilles, simplifiant jusqu’à la quasi abstraction leurs formes, les amenant à la lisière du signe : ses longs voyages en Asie portent sans doute leurs fruits, car l’apparente facilité de son trait, la légèreté de sa couleur révèlent une pratique très sophistiquée cousine de cet art de la calligraphie pratiqué par certains artistes d’extrême orient. Warffemius crée depuis de nombreuses années des sculptures de format réduit et monumental – le plus souvent en acier corten, bronze ou carton – à la fois installées dans des espaces publics et jardins. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses collection publiques dont Teylers Museum (Haarlem), Museum Vlinders (La Haye),... et privées Rabobank, Oracle, Ministère des Affaires Étrangères (La Haye), ING Bank AMsterdam, Collection Princesse Beatrix (La Haye)...
Courtesy Warffemius et Galerie la Ferronnerie
Mots-clés techniques
Supports
Toile
Types
Acrylique
Thèmes
Flore
19/03/2025
19/04/2025
Galerie La Ferronnerie, 40 rue de la Folie-Méricourt, 75011 Paris, France
Emmy Bergsma (née en 1960, Pays-Bas) crée des dessins par assemblages, découpages, sa pratique intégrant régulièrement l’élaboration de dessins monumentaux in situ. Son parcours en tant qu’artiste est façonné par une forte connexion avec son environnement, une exploration qui transcende l’ordinaire, tendant vers le mystérieux. Ne voulant pas se restreindre à l’espace de l’atelier, Emmy s’investit régulièrement dans des programmes de résidences, voyages aussi bien vers les délices de son enfance dans sa ville natale que vers de lointaines destinations, comme Madura en Indonésie, Bialowieza en Pologne, ou la Calabre en Italie. Ces voyages représentent sa façon de se connecter profondément avec un lieu. Sa fascination pour le monde de la nature est ancrée dans son éducation, biculturelle, où les histoires enchantées de l’Indonésie se mêlaient à la verte campagne néerlandaise dont les prairies, ruisseaux, fourrés, enflammaient son imaginaire. Elle expose régulièrement aux Pays-Bas, en Allemagne, en Italie et Pologne
Courtesy Emmy Bergsma et Galerie la Ferronnerie
Mots-clés techniques
Matériaux
Fusain
Supports
Papier
Thèmes
Nature
19/03/2025
19/04/2025
Galerie La Ferronnerie, 40 rue de la Folie-Méricourt, 75011 Paris, France
Camila Eslava pratique une exploration du monde à partir des sensations qui la connectent à son entourage. Une contemplation active et un état méditatif l'amènent à se demander si le ressenti se compose lui aussi d’éléments naturels. Eau, air, terre, forêt, chaleur et condition animale s’entrelacent dans son esprit, formant un langage sensible et organique. Par la méditation, des empreintes et traces des mouvements et dynamiques qui composent notre environnement deviennent dessin. Son travail s’apparente à une écriture visuelle, révélant notre appartenance à un tout.
L’exposition Nessuna cura est une réflexion autour de notre « sentir le corps » en tant qu’être biologique, berceau de sentiments, entité fertile-stérile.
Conçu par Anna Donà et Caisa Sandgren, le projet ouvre son premier chapitre chez JULIO . Il s’inspire de l’analyse qu’Antonio Damasio propose dans son ouvrage L’Ordre étrange des choses, où le neurologue explore l’origine des sentiments au sein de notre organisme.
Y a-t-il un remède pour ce corps animé par nos envies, souffrances et plaisirs ? Selon Damasio, seule une vie dépourvue de sentiments ne demanderait « aucun remède », en italien : nessuna cura. Il est pourtant impossible de dissocier le corps de ses émotions et de son héritage génétique.
Nessuna cura investit l’espace JULIO pour raconter une dichotomie : celle de la perception de notre organisme comme source de vie, terrain décomposé et, en parallèle, objet médicalisé, stérile, durable.
Les œuvres de Léa de Cacqueray, Caisa Sandgren et Darta Sidere expriment ensemble cette double identité – organique et utopique | sublime et mortelle – au sein d’un même corps, d’un même lieu.
La pratique de Caisa Sandgren traite du lien familial et de la transmission d’une génération à l’autre. Elle retourne régulièrement en Suède pour faire collecte de cet héritage et le réinjecter dans son travail. Caisa Sandgren développe un langage multiforme en travaillant différentes matières, de la surface du dessin à la sculpture et à l’installation.
Entre 1979 et 1982, la photographe Noriko Shibuya a capturé l’explosion de créativité qui animait Harajuku, à Tokyo. C’est là qu’est né un phénomène culturel spectaculaire : les Takenokozoku. Ces jeunes danseurs excentriques, vêtus de tenues éclatantes inspirées de la boutique iconique Takenoko, ont transformé les rues en une véritable scène à ciel ouvert, où la musique et la mode fusionnaient en un tourbillon d’énergie et de couleurs.
Icônes d’une jeunesse avide de liberté et d’expression, les Takenokozoku ont marqué l’histoire de la popculture japonaise, inspirant d’autres courants mêlant danse et mode. Leur audace et leur sens du spectacle annonçaient déjà l’émergence des bōsōzoku, ces motards rebelles au style flamboyant, et ouvraient la voie aux extravagances des gyaru et des visual kei, qui allaient redéfinir l’esthétique underground des décennies suivantes. Plus tard, la scène street dance japonaise, avec ses crews de hip-hop et ses performances à Shibuya ou Osaka, perpétuera cette tradition d’expression artistique libre et spectaculaire.
Noriko Shibuya, pionnière dans son domaine, a su saisir cette effervescence avec son objectif. En 1976, elle devient la première femme photographe à rejoindre la galerie CAMP, l’une des premières galeries indépendantes du Japon, aux côtés de Daido Moriyama et Keizo Kitajima. Son regard unique a immortalisé l’énergie brute de cette génération en quête d’identité, laissant un témoignage vibrant d’une époque où la rue était bien plus qu’un simple décor : c’était une scène, un terrain d’expression, un véritable laboratoire du style et de la rébellion.
Mots-clés techniques
Périodes
XXe siècle
Régions
Asie
Thèmes
Créativité
Danse
Mode
Musique
07/02/2025
22/03/2025
Galerie Leneuf Sinibaldi, 9 rue Henner, 75009 Paris, France
Galerie SATELLITE, 7 rue François de Neufchâteau, 75011 Paris, France
01 43 79 80 20
Dessin |Gorgo Patagaïe
Galerie SATELLITE |France
Voltiges VI
Mots-clés techniques
Procédés
Dessin numérisé
Supports
Papier
Thèmes
45T imaginaires
Musique
01/03/2025
16/03/2025
Galerie SATELLITE, 7 rue François de Neufchâteau, 75011 Paris, France
01 43 79 80 20
Peinture |Reina Abé
Galerie LN |France
Black and White Symphony
Depuis 15 ans, Reina Abé crée dans son atelier parisien, explorant des techniques mixtes qui allient l'art fluide aux méthodes plus traditionnelles. Cette exposition unique sera l'occasion de découvrir son approche artistique singulière, où les nuances de noir et blanc révèlent toute la profondeur de son travail. Nous vous invitons à venir apprécier cette rencontre fascinante entre modernité et tradition, et à plonger dans l'univers délicat et puissant de Reina Abé.
Mots-clés techniques
Dominantes
Blanc
Noir
Mouvements
Art abstrait
Autres
Art fluide
04/03/2025
09/03/2025
Galerie LN, 32 Rue Jacques Louvel-Tessier, 75010 Paris, France
L’exposition invite les visiteurs à explorer les différentes facettes du concept de fragment à travers les œuvres de trois artistes aux démarches radicalement différentes mais chez qui nous retrouvons des fragments de vies ordinaires, des éléments recyclés ou des souvenirs transformés. Chaque artiste offre une perspective unique sur la manière dont ceux-ci peuvent façonner notre perception du monde et de nous-mêmes. Ensemble, leurs œuvres forment un dialogue visuel et émotionnel sur la nature éphémère et complexe de notre existence.
Patrick Simkins, artiste anglo-irlandais, travaille avec le collage et la peinture pour refléter l’expérience humaine à travers la destruction et la régénération. Ses œuvres, souvent composées de fragments recyclés de ses propres créations, explorent la transience humaine et notre interaction avec les mondes réel et virtuel. Le cycle de destruction et de renouvellement est central dans son processus, symbolisant la nature éphémère de notre existence et de nos interactions.
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